Markus Zusak est né à Sydney en 1975. Il est le benjamin de quatre enfants. Ses parents sont d’origine allemande et autrichienne.
Markus Zusak écrit depuis presque toujours. Il a désormais entamé une grande carrière internationale et s’est déjà affirmé comme l’un des romanciers les plus novateurs et les plus poétiques d’aujourd’hui.
La Voleuse de livres est parue en septembre 2005 en Australie et à l’automne 2006 aux Etats-Unis où il figure depuis son lancement sur les listes des meilleures ventes.
Markus vit toujours à Sydney où il écrit et enseigne l’anglais à l’Université.
Bibliographie complète
En 1998, premier livre, premier succès : The Underdog, acclamé par la critique en Australie, publié en Europe, en Angleterre, aux Etats-Unis et traduit dans de nombreuses langues.
2000, parution de Fighting Ruben Wolfe, plusieurs fois primé en Australie où il reçoit entre autres le « Children’s Book Council (CBC) Honour Book 2001 ». Succès international pour ce deuxième roman paru aux Etats-Unis, en Angleterre, dans toute l’Europe et en France en 2003 sous le titre Combat de frères chez Hachette Jeunesse.
2001, succès pour When Dogs Cry, sélectionné pour le « NSW Premier’s Award » et lauréat du « CBC Honour Book 2002 ».
En 2002, parution de I am the Messenger qui remporte le « 2003 CBC Book Of the Year Award » et le « 2003 NSW Premier’s Literary Award ».
nombres de pages: 632 pages
résumé: En 1939, la petite Liesel perd ses parents, des opposants résolus à Hitler, et elle est recueillie par un couple des environs de Munich.
Ils ne sont ni beaux, ni riches, ni cultivés, mais ils ont un coeur gros comme une maison.
C’est une drole de famille qui se recompose : à la fillette, passionnée de lecture au point de voler des livres, se joignent un Juif qui s’installe dans la cave, et un copain de classe qui idolatre l’athlète noir américain Jesse Owens.
Mais sur ce fragile de bonheur planent l’ombre de Gestapo... et celle des bombardiers alliés.
Un univers parallèle aux couleurs enchanteresses
mon avis: au départ, on a du mal à accrocher à ce livre, ca semble un peu décousu. et puis, au fur et a mesure des pages, l'histoire se lie, les mots s'envolent, et sous l'horreur de l'allemagne nazie, on découvre aussi des gens tout simples qui n'avaient rien demandé, et qui tente par tous les moyens de survivre. au milieu de tout cela, une simple petite fille qui fait des petits miracles. a la dernière page, je me suis dit que ce livre était magnifique
points attribués: 10/10
un petit extrait: pendant vingt minutes, elle distribua les mots de l'histoire. le son de sa voix apaisait les plus petits. les autres voyaient en imagination le siffleur s'enfuir de la scène du crime. liesel, elle, ne voyait que la mécanique des mots - leurs corps échoués sur le papier, qui se couchaient sous ses pas. et ici et la, il y avait max. elle se rappelait les moments ou elle lui faisait la lecture quand il était malade. etait il dans le sous-sol? se demandait-elle. ou bien était il encore en train de regarder le ciel à la dérobée, tel un voleur?